Yves Ogou à la gare de Košice. Les lieux ont beaucoup changé après son arrivée en 1987. Košice, Slovaquie, 2016.
La porte d'entrée de l'auditoire de l'Université de Košice. Slovaquie, 2016.
Les escaliers de l'auditoire de l'Université de Košice. Slovaquie, 2016.
Panneau à l'interieur de la Faculté de Médecine de Košice. Slovaquie, 2016.
La Kofola, boisson typique de l'ancienne Tchécoslovaquie, inventée en 1960 et qui a résisté à l'invasion du Coca e du Pepsi. Slovakia, 2016.
Sankara et Leo, les deux fils de Yves et Adriana Ogou. Somotor, Slovaquie, 2016.
Chaque fois que Yves va au Bénin, il revient en Slovaquie avec beucoup de "fufo", un aliment introuvable en Slovaquie. Somotor, Slovaquie, 2016
L'Hôtel Úsvit a hebergé en 1968, pendant le Printemps de Prague, la rencontre entre Léonid Brejnev et Alexander Dubček à laquelle a suivi l'invasion de la Tchécoslovaquie par l'armée du Pacte de Varsovie. Čierna nad Tisou, Slovaquie, 2016.
Adriane et Léo Ogou à la sortie de l'école du village de Čierna nad Tisou. Slovaquie, 2016.
Adriane Ogou avec son passeport béninois. Somotor, Slovaquie, 2016.
La famille Ogou dans sa cuisine. Somotor, Slovaquie, 2016.
La belle mère de Yves montre fièrement les photos de mariage de sa fille. Somotor, Slovaquie, 2016
Yves Ogou devant le mémorial de la bataille de la Deuxième Guerre mondiale à Dargov. Dargov, Slovaquie, 2016.
Yves Ogou regarde le monument érigé à la mémoire des morts communistes dans la bataille de Dargov, pendant la Seconde Guerre mondiale, pour libérer la Slovaquie sur les nazis. Dargov, Slovaquie 2016.
Yves Ogou en "Námestie osloboditeľov", ou Place de la liberté, l'un des rares monuments restants avec des symboles communistes. Košice, Slovaquie, 2016.
Ce bâtiment, qui abrite l'un des rares magasins de l'époque communiste, est maintenant un centre commercial. Košice, Slovaquie, 2016.
Yves Ogou, devant un rideau blanc, regarde ce qui se passe de l'autre côté. Košice, Slovaquie, 2016.
Renáta Lenártová, vieille amie d'Yves Ogou et aujourd'hui adjointe au maire de Košice. Slovaquie, 2016.
Achille Kanhonou arrivé en Tchécoslovaquie du Bénin en 1988 pour étudier la biologie. Bratislava, Slovaquie, 2016.
Sayon Camara, ingénieur en électronique d'origine guinéenne avec son passeport slovaque. Bratislava, Slovaquie, 2016.
Sayon Camara, ingénieur en électronique d'origine guinéenne avec son vélo. Bratislava, Slovaquie, 2016.
La gare de Bratislava. Slovaquie, 2016.
Un baiser entre Adriana et Yves à la fête de l'Association des Béninois en Slovaquie. Bratislava, Slovaquie, 2016.
Le pont sur le chemin de fer dans le quartier Rača à Bratislava. Slovaquie, 2016.
Martin Palou, d'origine tchadienne, arrivée en Tchécoslovaquie dans les années 80 pour faire ses études. Bratislava, Slovaquie, 2016.
Mamadou Bassadin et sa femme Silvia à la fête de l'Association des Béninois en Slovaquie. Bratislava, Slovaquie, 2016.
Kamarad africain!
Molto lontano dal loro paese d’origine, sono andati a studiare all’Est al tempo dell’Unione Sovietica, e hanno ottenuto i loro diplomi. Ma a differenza di altri studenti, loro hanno deciso di restare in quel paese che era la Cecoslovacchia. Guidati dal beninese Yves Ogou, andiamo a conoscere la comunità africana in Slovacchia, e riviviamo tutti i momenti salienti della sua vita alla sovietica! Il suo arrivo alla stazione di Kosice, i primi corsi di lingua slovacca, l’inizio dell’università, il suo matrimonio con una ragazza slovacca della comunità ungherese… ma anche il razzismo, la rivoluzione dei valori liberali e la dissoluzione del blocco sovietico. Kamarad africain! E’ un reportage radio e fotografico che vi porta al cuore della vita quotidiana all’interno della Cortina di ferro, vista e vissuta con occhi africani.
Un reportage realizzato con Daphné Gastaldi
Link per ascoltare i reportage in francese su RFI:
Kamarad africain !
Camarades africains, un Erasmus soviétique en Tchécoslovaquie
Très loin de leur pays d’origine, ils sont venus étudier à l’Est au temps de l’Union soviétique, et ils ont obtenu des diplômes. Mais, à la différence des autres boursiers, ils ont décidé de rester dans ce pays appelé alors la Tchécoslovaquie.
Guidés par le Béninois Yves Ogou, nous rencontrons la communauté africaine de Slovaquie, et nous revivons tous les moments forts de sa vie soviétique ! Son arrivée à la gare de Kosice, ses premiers cours de langue, sa rentrée universitaire, son mariage avec une Slovaque… mais aussi le racisme, la révolution de velours et l’effondrement du bloc soviétique.
Kamarad africain, c’est une plongée au cœur de la vie quotidienne à l’Est, vue et vécue par un Africain.
Un reportage proposé par Daphné Gastaldi avec un diaporama d’Alberto Campi.