J’avais 9 ans, quand Antonio Di Pietro, alors magistrat à Milan, donna, en février 1992, le coup d’envoi de l’enquête Mani pulite qui devait conduire à la fin de la «Première République» et à l’effondrement des partis politiques historiques.
Un quart de siècle plus tard, combien d’Italiens sont en mesure d’expliquer ce qui est arrivé à l’époque dans la Péninsule? À leur décharge, la complexité et la profondeur des changements provoqués par Mani pulite ne sont pas simples à saisir…
Voir le portfolio d’Alberto Campi dans la rubrique « Hublot » du journal suisse La Cité.